Après avoir été libérer Helyana et lu sa note, nous avons mis le cap en direction du Niati.
C'était un petit cargo, donc on ne voyait pas vraiment ce qu'elle comptait faire, en orbite autour de Yavin 4.
De plus, une fois arrivés sur le vaisseau, nous n'avons fait face à aucune résistance.
Mothrel et Krey'a était tout deux sur leurs gardes, et j'avais laissé Helyana au soins de mes hommes. On pensait qu'elle préparait un coup pour tenter d'anéantir ma base, mais à part le silence, il n'y avait rien. Jusqu’à ce que l'on entende un cri.
On marcha un peu plus rapidement, et on se dirigea vers la salle d'où provenait le cri, qui s'estompa. Selon les indications, il s'agissait de la chambre privée.
Arrivés dans la chambre, ce fut une surprise totale.
Nevalia était au centre d'un cercle rituel de sang, un couteau à la main. Les corps de l’équipage jonchait le sol tout autour du cercle. Elle semblait essoufflée, et elle était à genou, les mains couvertes de sang et quelques éclaboussures sur le visage. De son autre main elle serrait un bocal, contenant mon cœur à l'intérieur.
En me voyant, elle semblait comme effrayée, et lâcha son couteau. Elle serra fort le bocal contre elle.
- "Il est à moi ! Depuis toujours !" S'écria-t-elle, comme un animal apeuré.
- "Tu as perdue, Nevalia...
- Tu étais censé être mien ! Je t'ai toujours aimé !
- Tu as pourtant tenté de me tuer.
- Je savais que tu survivrais. Je te connais mieux que tu ne le crois, Jiaasjen... et pourtant tu ne m'aime pas !
- Alors c'était ça tout ce rituel ? Pour me forcer à t'aimer ?
- J'ai consacré tellement de temps à ça... j'ai même changé la vie d'Asthary pour ne pas qu'elle ne me gêne...
- Comment ça ?" Je m'approchais de quelque pas. Elle reprit son couteau, mais ne le pointa pas sur moi, mais sur son cœur.
- "Ne bouge pas !" Des larmes commençaient à couler de ses yeux. "Je voulais juste que tu m'aime..." Elle se poignarda le cœur, sans un signe de douleur, hormis le sang dégoulinant de ses lèvres, et s’effondra.
Je repensais à cette petite fille qui me courait sans arrêt après et me donnait la main quand je tombais par terre... elle est morte il y a bien longtemps.
Je ne récupérais pas mon cœur, et nous avons mis la procédure d'autodestruction de la navette avant de partir.
Ce fut la fin d'une très courte guerre.
C'était un petit cargo, donc on ne voyait pas vraiment ce qu'elle comptait faire, en orbite autour de Yavin 4.
De plus, une fois arrivés sur le vaisseau, nous n'avons fait face à aucune résistance.
Mothrel et Krey'a était tout deux sur leurs gardes, et j'avais laissé Helyana au soins de mes hommes. On pensait qu'elle préparait un coup pour tenter d'anéantir ma base, mais à part le silence, il n'y avait rien. Jusqu’à ce que l'on entende un cri.
On marcha un peu plus rapidement, et on se dirigea vers la salle d'où provenait le cri, qui s'estompa. Selon les indications, il s'agissait de la chambre privée.
Arrivés dans la chambre, ce fut une surprise totale.
Nevalia était au centre d'un cercle rituel de sang, un couteau à la main. Les corps de l’équipage jonchait le sol tout autour du cercle. Elle semblait essoufflée, et elle était à genou, les mains couvertes de sang et quelques éclaboussures sur le visage. De son autre main elle serrait un bocal, contenant mon cœur à l'intérieur.
En me voyant, elle semblait comme effrayée, et lâcha son couteau. Elle serra fort le bocal contre elle.
- "Il est à moi ! Depuis toujours !" S'écria-t-elle, comme un animal apeuré.
- "Tu as perdue, Nevalia...
- Tu étais censé être mien ! Je t'ai toujours aimé !
- Tu as pourtant tenté de me tuer.
- Je savais que tu survivrais. Je te connais mieux que tu ne le crois, Jiaasjen... et pourtant tu ne m'aime pas !
- Alors c'était ça tout ce rituel ? Pour me forcer à t'aimer ?
- J'ai consacré tellement de temps à ça... j'ai même changé la vie d'Asthary pour ne pas qu'elle ne me gêne...
- Comment ça ?" Je m'approchais de quelque pas. Elle reprit son couteau, mais ne le pointa pas sur moi, mais sur son cœur.
- "Ne bouge pas !" Des larmes commençaient à couler de ses yeux. "Je voulais juste que tu m'aime..." Elle se poignarda le cœur, sans un signe de douleur, hormis le sang dégoulinant de ses lèvres, et s’effondra.
Je repensais à cette petite fille qui me courait sans arrêt après et me donnait la main quand je tombais par terre... elle est morte il y a bien longtemps.
Je ne récupérais pas mon cœur, et nous avons mis la procédure d'autodestruction de la navette avant de partir.
Ce fut la fin d'une très courte guerre.